BEYROUTH (AP) -- Plusieurs centaines de soldats, policiers et des véhicules blindés ont pris position vendredi dans le centre de Beyrouth, des mesures de sécurité sans précédent en prévision de la manifestation, dans l'après-midi, du Hezbollah et des ses alliés pro-syriens.
Tous les accès au bâtiment abritant le siège du gouvernement ont été bouclés, notamment par des barrières et du fil barbelé. Le Hezbollah et l'opposition pro-syrienne dont le mouvement chiite Amal ont appelé à une manifestation "pacifique" à partir de vendredi 15h (13h gmt) pour faire tomber le gouvernement du Premier ministre Fouad Siniora.
Des dizaines de milliers de manifestants sont attendus et les forces de sécurité redoutent de violents incidents. Une partie des écoles et de nombreux commerces du centre-ville ont été fermés.
Pour le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah, le cabinet Siniora a échoué et il faut à présent un "véritable gouvernement d'unité". Il a appelé chacun "à une action populaire pour faire pression en vue de parvenir à cet objectif", soulignant qu'il faut manifester de façon "pacifique et civilisée".
L'opposition appelle donc "tous les Libanais de toutes les factions et partis (...) à se rassembler pacifiquement" à partir de vendredi 15h (13h gmt) et participer à un "sit-in public" dans le centre de la capitale libanaise pour "protester contre l'absence de véritable participation politique et réclamer un véritable gouvernement d'union nationale, dont la priorité est de décider une nouvelle loi électorale".
Fouad Siniora a assuré dans une allocution télévisée jeudi soir que son gouvernement ne tomberait pas. "L'indépendance du Liban est menacée et le système démocratique est en danger", a-t-il déclaré.
La manifestation intervient après des semaines de tensions exacerbées le 21 novembre par l'assassinat le 21 novembre du ministre chrétien maronite Pierre Gemayel, et à la suite du feu vert donné le 25 novembre par le gouvernement libanais à la création d'un tribunal international sous l'égide de l'ONU, chargé de juger les suspects dans l'assassinat en février 2005 de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri.
Le commandant des forces armées Michel Souleiman a déclaré jeudi que ses troupes étaient prêtes à assurer la "protection de la liberté d'expression, empêcher les émeutes et attaques contre les biens publics et privés". Il a ordonné à ses soldats de "protéger la sécurité de tous les citoyens, dont les partis pro et anti-gouvernementaux", a-t-il ajouté, cité par la presse libanaise. AP
Voyons ce qui va se passer cette après-midi....espérons ne pas verser dans la violence.
Enfin, voilà, allez have a good day et Enjoy :)
Tous les accès au bâtiment abritant le siège du gouvernement ont été bouclés, notamment par des barrières et du fil barbelé. Le Hezbollah et l'opposition pro-syrienne dont le mouvement chiite Amal ont appelé à une manifestation "pacifique" à partir de vendredi 15h (13h gmt) pour faire tomber le gouvernement du Premier ministre Fouad Siniora.
Des dizaines de milliers de manifestants sont attendus et les forces de sécurité redoutent de violents incidents. Une partie des écoles et de nombreux commerces du centre-ville ont été fermés.
Pour le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah, le cabinet Siniora a échoué et il faut à présent un "véritable gouvernement d'unité". Il a appelé chacun "à une action populaire pour faire pression en vue de parvenir à cet objectif", soulignant qu'il faut manifester de façon "pacifique et civilisée".
L'opposition appelle donc "tous les Libanais de toutes les factions et partis (...) à se rassembler pacifiquement" à partir de vendredi 15h (13h gmt) et participer à un "sit-in public" dans le centre de la capitale libanaise pour "protester contre l'absence de véritable participation politique et réclamer un véritable gouvernement d'union nationale, dont la priorité est de décider une nouvelle loi électorale".
Fouad Siniora a assuré dans une allocution télévisée jeudi soir que son gouvernement ne tomberait pas. "L'indépendance du Liban est menacée et le système démocratique est en danger", a-t-il déclaré.
La manifestation intervient après des semaines de tensions exacerbées le 21 novembre par l'assassinat le 21 novembre du ministre chrétien maronite Pierre Gemayel, et à la suite du feu vert donné le 25 novembre par le gouvernement libanais à la création d'un tribunal international sous l'égide de l'ONU, chargé de juger les suspects dans l'assassinat en février 2005 de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri.
Le commandant des forces armées Michel Souleiman a déclaré jeudi que ses troupes étaient prêtes à assurer la "protection de la liberté d'expression, empêcher les émeutes et attaques contre les biens publics et privés". Il a ordonné à ses soldats de "protéger la sécurité de tous les citoyens, dont les partis pro et anti-gouvernementaux", a-t-il ajouté, cité par la presse libanaise. AP
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